dimanche 30 août 2015

Arletty, une passion coupable.

Je l'ai vu avant hier, j'ai beaucoup aimé, d'une part parce que j'aimais la comédienne et que le sujet est bien traité, du côté des sentiments, de l'amour, l'amour qui n'a pas de frontières, comme le disait si bien Arletty :" mon cul est international", cet amour qui va bouleverser sa vie et la mettre pour de nombreux français du côté des "traites" puisque l'homme qu'elle a osé aimer était un officier allemand. Laetitia Casta joue très bien Arletty, ce qui pouvait sembler au départ un vrai défi, Arletty étant une comédienne avec un phrasé, une personnalité très particulière, l'actrice s'en sort vraiment bien, sans trop en faire pour autant, je ne citerai que pour contre exemple  Marion Cotillard dans le rôle d'Edith Piaf qui est pour moi le comble de la mauvaise interprétation, mais c'est un autre sujet car je n'aime pas du tout M Cotillard ! lol ! Après c'est très subjectif évidemment !

J'ai toujours trouvé que la tonte des femmes coupables d'avoir aimé des allemands à la fin de la seconde guerre mondiale avait été une véritable honte pour la France.
  Arletty était une femme intelligente, courageuse, libre,  en avance sur son temps, j'aimais tellement le film Les Enfants du Paradis que si j'avais été la seule à décider du prénom de ma fille elle se serait appelé Garance comme le personnage de l'actrice dans ce film !

Alors que Paris vit sous le joug de l’Occupation allemande, en plein tournage des "Enfants du Paradis", au cœur d’une période tumultueuse de l’Histoire, Arletty, anticonformiste, continue de vivre au gré de ses envies et tombe sous le charme d’un jeune officier allemand, Hans Jurgen Soehring. La liaison fera bruire le tout Paris, aussi bien dans les milieux collaborationnistes que résistants. Rien ne déstabilise la comédienne qui, portée par cet amour, refuse de se ranger dans un camp. Le portrait d’une époque trouble et complexe vue à travers la vie d’une femme, icône de sa génération, finalement rattrapée par ses choix à l’heure de l’épuration.(AlloCiné)






3 commentaires:

  1. tu lui as pas donné comme deuxième prénom ?
    Hiroshima mon amour parle aussi de ce sujet.
    comme quoi il ne faut pas rêver de l'ancien temps qui possédait aussi son lot de barbares.

    RépondreSupprimer
  2. Non je n'ai pas vraiment choisi les prénoms pour ma fille, on avait un deal, j'ai choisi les prénoms de mes fils par contre ! lol !

    RépondreSupprimer
  3. moi c'était moitié moitié c'est pour ça que je te demande. ma mère a choisi mon premier prénom et les autres prénoms c'est mon père qui a choisi de donner le prénom de sa mère au masculin + celui de son père (jean(ne) louis)

    RépondreSupprimer